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Avenir de Foncia : Découvrez les révélations sur l’immobilier en 2025 !

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Foncia, le pionnier français dans le domaine de la gestion immobilière, a dévoilé ses résultats pour l’année 2024 ainsi que ses prévisions pour 2025 lors d’une conférence de presse marquante le 30 janvier 2025. Dans un contexte de marché immobilier en pleine évolution, caractérisé par la montée des taux d’intérêt, la crise du neuf et des tensions sur le secteur locatif, l’entreprise partage ses axes stratégiques pour retrouver le chemin de la croissance. Stabilisation des transactions, digitalisation, et rénovation énergétique : quels défis et opportunités attendent foncia et le marché immobilier en 2025 ? Plongée au cœur d’un secteur en quête de nouveaux équilibres.

Un marché immobilier en pleine transformation pour 2025

Le marché immobilier de 2024 a été marqué par une instabilité sans précédent. Pourtant, 2025 semble se profiler comme une année charnière, avec des signaux encourageants malgré un environnement toujours complexe.

Une année 2024 difficile pour l’immobilier ancien

Le secteur de l’ancien a enregistré une baisse de 8 % des transactions, avec seulement 13 000 ventes clôturées par Foncia. Plusieurs facteurs expliquent cette dynamique :

  • hausse des taux d’intérêt. En 2024, le taux moyen d’un prêt immobilier a grimpé de 1,2 % en 2021 à 4,5 % fin 2024, rendant l’accessibilité à la propriété plus difficile.
  • Correction des prix. Le prix moyen au m² a décliné de 4 % en 2024, un ajustement nécessaire après de nombreuses années de flambée des prix.
  • Moins d’acquéreurs solvables. Selon la Banque de France, près de 30 % des demandes de prêt ont été rejetées en 2024, pénalisant ainsi le volume des transactions.
Évolution des transactions chez Foncia en 2024

« L’année 2024 a été une période d’ajustement pour le marché immobilier. Si cette tendance se confirme, nous pourrions observer une stabilisation en 2025, avec une reprise progressive des ventes. » – Jordan Frarier, Président de Foncia Transaction.

Un rebond possible en 2025 ?

Malgré le cadre difficile, la fin de l’année 2024 a révélé des signes encourageants de stabilisation. Le nombre de compromis de vente</div><div class=glossaryItemBody>Le &amp;lt;strong&amp;gt;compromis de vente&amp;lt;/strong&amp;gt; est un contrat préliminaire qui engage à la fois l&#039;acheteur et le vendeur à conclure la vente d&#039;un bien immobilier. Cela sous réserve de la réalisation de conditions suspensives. »> compromis de vente signés a ainsi augmenté de 4 % sur les trois derniers mois de l’année, illustrant un regain d’activité. De plus, la surface moyenne des biens acquis a progressé de 2,4 %, signifiant une évolution des préférences des acheteurs, qui favorisent des logements plus spacieux. Si cette dynamique se maintient et que la baisse des taux d’intérêt se concrétise, le marché immobilier pourrait alors connaître un second souffle. Selon les prévisions de Foncia, une croissance de 5 % serait envisageable dans un contexte plus favorable.

« Le regain de croissance observé à la fin de l’année 2024 nous permet d’envisager la suite avec plus de sérénité. Si la tendance à la baisse des taux se poursuit, un redressement est à prévoir. Toutefois, il est crucial d’imaginer un statut fiscal spécifique pour relancer les investissements immobiliers privés. » – Jordan Frarier.

Location et gestion locative : un secteur sous forte pression

En 2024, le marché locatif a traversé une période particulièrement tendue. Foncia, en tant que leader de la gestion locative en France, a comptabilisé 60 000 baux réalisés et 400 000 biens gérés, mais ces chiffres cachent une réalité complexe. En effet, l’offre en logements à louer s’est considérablement réduite, tandis que la demande, notamment émanant des étudiants et jeunes actifs, a connu une forte progression.

Une offre en déclin, une demande en hausse

Tout au long de 2024, le marché a enregistré une pénurie de logements locatifs, exacerbée par plusieurs facteurs. D’une part, la baisse des transactions a limité le renouvellement du parc locatif. D’autre part, la crise dans la construction neuve a réduit l’ajout de nouveaux biens sur le marché. Foncia a constaté une baisse de 25 % des nouveaux lots en gestion locative dans le neuf.

Location et gestion locative : un secteur sous tension

« Les difficultés sur le marché de la transaction ont accentué les tensions sur un marché locatif déjà en contraction. La situation en 2025 pourrait rester inchangée, avec un défi majeur à relever : absorber la sortie progressive des passoires thermiques du parc immobilier locatif. » – Zahir Keenoo, Président de Foncia ADB.

Des loyers en hausse visible

Face à cette offre restreinte et à une demande toujours croissante, les loyers ont continué d’augmenter en 2024, surtout dans les grandes agglomérations. Selon l’Observatoire Clameur, les loyers ont enregistré une hausse moyenne de 3,5 % en France, très marquée dans certaines métropoles.

 Un impact visible sur les prix des loyers
Dans les zones tendues comme Paris ou Lyon, l’augmentation des loyers a été accentuée par le manque de disponibilités. Par ailleurs, le retrait progressif des logements classés G sur le marché locatif a également contribué à cette inflation, réduisant encore l’offre de logements accessibles.

« Avec la fin du dispositif Pinel et les nouvelles contraintes environnementales, nous observons une forte pression sur le marché locatif. Si aucune mesure incitative n’est mise en place, l’accès au logement risque de se complexifier. Le défi de 2025 sera de rééquilibrer le marché en incitant les propriétaires à remettre des biens sur le marché locatif tout en garantissant une rénovation énergétique efficace. » – Zahir Keenoo.

Immobilier neuf : une crise persistante en 2025

L’année 2024 a été particulièrement éprouvante pour le secteur de la construction neuve, qui a subi un ralentissement marqué. Foncia, détenant 10 % du marché de la gestion locative dans le neuf et 30 % en copropriété neuve, a observé une contraction significative. En 2024, le nombre de logements neufs autorisés à la construction a atteint un seuil historiquement bas. Selon le ministère de la Transition écologique, 300 000 logements ont reçu un permis de construire en 2024, contre 420 000 en 2021, soit une chute de plus de 28 % en trois ans. Plusieurs éléments expliquent cette baisse :

  • Augmentation des taux d’intérêt. Cela a restreint l’accès au crédit, tant pour les promoteurs que pour les acquéreurs.
  • Croissance des coûts des matériaux de construction. Impactée par l’inflation et les tensions sur les matières premières.
  • Règlementation plus stricte. Notamment avec l’entrée en vigueur de la norme environnementale RE2020, imposant des standards de performance énergétique plus exigeants.
Immobilier neuf : une crise persistante en 2025

Le retrait des investisseurs privés

En parallèle de ce ralentissement de la construction, les investisseurs privés se sont progressivement éloignés du marché du neuf. La fin du dispositif Pinel, qui proposait des réductions d’impôts pour l’achat de logements neufs destinés à la location, a particulièrement affecté la dynamique du secteur. Foncia a relevé une diminution de 25 % des nouveaux lots en gestion locative dans le neuf en 2024. Simultanément, les ventes aux investisseurs ont chuté de 37 %, selon la Fédération des Promoteurs Immobiliers.

Dominance des bailleurs sociaux sur le marché

Face à cette désaffection des investisseurs traditionnels, les bailleurs sociaux prennent désormais le devant de la scène dans le marché du neuf. La part des logements intermédiaires et sociaux dans les ventes de logements neufs est passée d’environ 30 % en 2020 à près de 50 % en 2024, d’après les données de la Banque des Territoires. Ce virage vers un modèle plus social reflète un besoin croissant de logements abordables, tout en témoignant du désintérêt grandissant des investisseurs traditionnels.

La rénovation énergétique : un levier stratégique pour Foncia

Dans un contexte de défis environnementaux croissants et de nouvelles réglementations, Foncia se positionne comme un acteur clé de la rénovation énergétique. En tant que premier syndic de France, l’entreprise joue un rôle majeur dans la transition énergétique du parc immobilier, en accompagnant les copropriétés dans leurs projets de rénovation.

Depuis plusieurs années, Foncia consacre des investissements considérables à la rénovation énergétique des biens immobiliers. En 2022, l’entreprise a lancé un Green Deal visant à accompagner 300 projets de rénovation énergétique d’ici 2024.

Cet objectif a été largement dépassé :

  • 400 projets de rénovation énergétique réalisés.
  • 27 000 logements rénovés.
  • 1 500 collaborateurs formés dans la gestion de ces projets.

« Nous sommes fiers d’annoncer qu’au 31 décembre 2024, nous avons surpassé nos objectifs en réalisant 400 projets de rénovation énergétique, ce qui équivaut à plus de 27 000 logements transformés. » – Zahir Keenoo, Président de Foncia ADB.

Forte du succès de ce premier Green Deal, Foncia se prépare à signer un second accord en 2025, en collaboration avec le Plan Bâtiment Durable.

Les défis du financement des travaux de rénovation

Bien que l’engagement de Foncia ait permis d’accélérer les rénovations, le financement demeure un obstacle majeur. En effet, la loi impose aux bailleurs d’engager des travaux pour que leurs biens restent éligibles à la location. Ceci concerne particulièrement les logements classés G, qui seront interdits à la location en 2025. Cependant, le modèle actuel d’emprunt collectif pose problème, car chaque copropriétaire est garant individuel de son prêt, compliquant ainsi les dossiers de financement.

« Lorsque nos équipes se déplacent pour rencontrer 650 copropriétaires et que la banque nous répond : “Madame Dupont du 3e ne peut pas être financée”, la notion même d’emprunt collectif perd toute sa pertinence. C’est un non-sens ! » – Zahir Keenoo.

Illustration d’un projet exemplaire à Villeurbanne

À Villeurbanne, une copropriété de 650 lots a lancé un projet de rénovation énergétique de 50 millions d’euros, avec un reste à charge réduit à 6 millions d’euros pour les copropriétaires. Ce projet modèle a pu être réalisé grâce à l’engagement des 1 500 gestionnaires de Foncia, de 70 référents spécialisés, et de 15 assistants à maîtrise d’ouvrage (AMO).

Proposition pour faciliter la rénovation énergétique

Pour surmonter ce frein financier, Foncia prône une réforme législative visant à transformer l’emprunt collectif en un prêt garanti par le syndicat des copropriétaires.

« Actuellement, la caution est individuelle. À l’avenir, elle devrait être collective, portée par le syndicat des copropriétaires. En cas de non-paiement d’un propriétaire, le syndic pourra effectuer son travail de recouvrement. Nous avons déjà présenté cette proposition aux autorités et aux banques. » – Zahir Keenoo.

Digitalisation et transformation des métiers immobiliers

2024 a marqué un tournant majeur pour Foncia avec l’achèvement du déploiement de Millénium, son nouveau système de gestion interne. Cette digitalisation s’inscrit dans une stratégie globale visant à moderniser les métiers de l’immobilier, améliorer la gestion des biens et renforcer les relations avec les clients.

Millénium : un outil innovant pour l’immobilier

Avec plus de 10 000 collaborateurs et 600 agences à travers la France, Foncia gère un volume immense de données et d’interactions clients. Le déploiement du logiciel Millénium a permis d’automatiser et d’optimiser de nombreuses tâches, offrant ainsi aux équipes davantage de temps pour se consacrer à l’accompagnement des clients.

« L’achèvement du déploiement de Millénium dans toutes nos agences est une avancée majeure, permettant une gestion plus fine et réactive des biens qui nous sont confiés. » – Zahir Keenoo.

En modernisant ses outils, Foncia répond également aux nouvelles attentes des clients, de plus en plus en quête de services digitalisés et accessibles à distance.

Transformation en profondeur des métiers de l’immobilier

L’apparition de nouvelles technologies a profondément modifié le rôle des gestionnaires et syndics dans le secteur immobilier.

« Les métiers de l’immobilier ont profondément évolué ces dernières années. La digitalisation est indispensable pour répondre aux exigences croissantes des clients et renforcer notre présence sur le terrain. » – Zahir Keenoo.

En parallèle de cette digitalisation, Foncia investit considérablement dans la formation de ses collaborateurs.

  • 1 500 collaborateurs ont été formés en gestion de copropriété pour mieux soutenir les propriétaires dans la gestion de leurs biens.
  • Chaque nouveau gestionnaire de copropriété bénéficie en moyenne de 185 heures de formation.
  • En 2025, Foncia lancera une académie de formation incluant des certifications diplômantes et un programme de Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).

« Nous avons mis en place une académie de formation pour permettre à nos collaborateurs d’obtenir des certifications, revalorisant ainsi le métier de la copropriété et renforçant les compétences de nos équipes. » – Zahir Keenoo.

Renforcement des relations clients grâce au digital

L’innovation numérique ne se limite pas uniquement aux outils internes. Foncia vise également à renforcer la proximité avec ses clients en 2025 en lançant plusieurs initiatives :

  • Réorganisation territoriale des agences pour mieux répondre aux spécificités locales.
  • Mise en place d’un service client digitalisé pour assurer une réactivité améliorée.
  • Développement d’une plateforme client en ligne permettant un suivi en temps réel de la gestion de leur bien.

L’objectif est clair : offrir un service accessible, réactif et aligné avec les attentes des clients.

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